L’arrivée de l’automne marque la fin de la parenthèse estivale.
Si la page de l’été et des vacances se tourne, elle laisse place à celle de la rentrée… à nous d’écrire cette nouvelle page.

Que ce soit consciemment ou inconsciemment, notre environnement influence profondément notre état d’être. Celui-ci est multiple : familial, politique, écologique, et bien d’autres encore. Sans parler de notre sphère intime, force est de constater qu’au fil des années, le contexte extérieur s’est alourdi. Les épreuves et les sujets anxiogènes se multiplient, poussant même certains à se couper de l’actualité.

Depuis notre naissance, nous avons développé un système d’adaptation, un mode de communication avec le monde. Il correspond à nos rôles sociaux, qui nous rassurent et nous protègent des autres, comme autant de costumes que nous portons pour présenter notre meilleur visage, cacher nos faiblesses, affronter les difficultés, voire rendre une situation favorable. Nous trouvons des avantages à ce système d’adaptation tant qu’il y a équilibre entre les évènements extérieurs et notre état d’être intérieur.

Toutefois, face aux bouleversements sociaux ou personnels, cet équilibre peut se rompre, entraînant mal-être ou/et maladie. Il devient alors essentiel de se recentrer sur soi, de retrouver notre véritable essence et nos valeurs profondes. Plusieurs pratiques existent, dont la Méthode Rosen, pour nous guider dans cette démarche. Être soi sans être dans l’effort devient possible et nous ouvre des possibilités et des découvertes en soi insoupçonnées. Cela ouvre la voie à un espace intérieur nourrissant et porteur de croissance.

Lors d’une séance Rosen, le praticien ne travaille pas seulement avec ses mains ; il engage tout son être, corps et esprit, pour accompagner la personne dans un climat d’acceptation et de sécurité. Sans jugement ni a priori, cette atmosphère favorise la confiance, permettant à l’individu de se sentir en sécurité, et de renouer avec sa confiance en l’humain et en la vie.